L’économie américaine en phase euphorique, mais… prudence
Il y a plein de bonnes nouvelles aux Etats-Unis: un vaccin a été trouvé par Pfizer, les boeings 737 vont pouvoir redécoller et le PIB a bondit de +33,1% au troisième trimestre. Les changements politiques américains ne semblent plus avoir de conséquences négatives sur la bourse. On se rappelle qu’un grand nombre d’observateurs s’attendaient à un krach fin 2016 entre l’élection de Trump et sa prise de fonction, et ce fut le contraire qui arriva. La victoire annoncée de Biden, n’aura pas non plus eu de conséquence économique négative à court terme, alors même qu’elle était contestée par le président sortant. Le fait que le sénat reste (pour le moment) Républicain et la nécessité de compromis qui en résulte est peut-être la raison pour laquelle la bourse a été souriante : elle peut être certaine qu’il n’y aura pas de « révolution » aux Etats-Unis dans les deux ans qui viennent.
En octobre, 638 000 nouveaux emplois ont été créés aux États-Unis : de ce côté-là chacun saluait une reprise plus rapide que prévue. Plus de 62 % du volume d’emplois perdus durant le confinement en mars-avril avaient alors récupérés.
ARGENT MAGIQUE
Donc, tout va bien ? Il faut le dire vite. En tout cas, les oracles qui annonçaient tous les deux jours une crise financière systémique majeure aux USA avant l’arrivée de la covid… ceux-là ont disparu plus vite que le virus. Entre temps, les gouvernements occidentaux ont inventé « l’argent magique » : quand il n’y a plus d’argent, il suffit d’en emprunter plus qu’avant… et ça ne semble plus avoir de limite depuis que les Républicains ont été convertis par Trump aux bienfaits de la dette !
Comme chacun le sait, Noël approche, et ainsi le gouvernement fédéral a encore prévu d’augmenter ses émissions de dettes en fin d’année. Le rapport de la Fed du 9 novembre sur la stabilité financière des États-Unis mentionne quand même des vulnérabilités dans le pays : le niveau de valorisation des actifs financiers (en particulier des actions et des biens immobiliers) a beaucoup augmenté depuis mai, ce qui accentue le risque d’une dépréciation brutale.
L’immobilier résidentiel est au plus haut, car il y a du mouvement, des taux d’emprunts bas, et un inventaire faible au niveau national (dans certaines villes c’est l’inverse : beaucoup déménagent pour quitter New-York ou San Francisco). L’arrivée des vaccins contre le coronavirus pourrait changer la donne dans ce secteur immobilier.
Au niveau de l’immobilier commercial, c’est toujours sinistre vu le nombre de commerces et bureaux qui n’ont pas pu payer leurs loyers (y compris les entreprises qui ne pourront JAMAIS les payer car… elles n’existent plus). Dans ce secteur, il serait étonnant que le seul vaccin fasse « rentrer les choses dans l’ordre ».
L’immobilier lié au tourisme (hôtels…) va continue de s’enfoncer, comme toutes les industries liées au tourisme international. La fermeture prolongée des liaisons touristiques va commencer à faire entrer certains secteurs, non plus dans une phase de « difficultés », mais dans une logique beaucoup plus… fatale.
Si – comme dit plus haut – la dette fédérale n’a plus l’air d’inquiéter beaucoup de monde, celle des familles américaines est un souci pour la Fed : elle a augmenté ces derniers mois, pour des raisons évidentes, et alors même que les revenus des Américains étaient en baisse.
Le secteur financier a lui aussi continué de s’endetter, notamment les hedge-funds et les entreprises d’assurance.
A propos de dettes, mentionnons cette possibilité de prêt pour les petites et moyennes entreprises : une réduction intéressante du montant minimal de l’emprunt « Main Street Lending Program » – qui passe de 250.000$ à 100.000$. Les frais de transaction de 1% sont en outre supprimés pour les prêts inférieurs à 100k
Donc, en synthèse… tout va bien. Sauf que la pandémie continue, et que les Américains vont désormais devoir surtout compter sur eux mêmes pour continuer à relancer l’économie. L’euphorie était prévisible et prévue, mais la logique en cours est similaire à ce qu’il s’est passé après la crise de 2008 : tout va bien SAUF pour ceux pour qui tout va mal ! Et, le problème, c’est qu’ils vont de nouveau être très nombreux à rejoindre les rangs de la pauvreté durable.
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