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Révolution dans la recherche criminelle basée sur l’ADN

Les recherches basées sur l’ADN permettent déjà depuis des années de retrouver des criminels, et lors de leur apparition elles constituaient déjà une révolution dans les procédés d’enquête. Mais la récente arrestation en avril du « Golden State Killer », l’ancien policier de Californie Joseph James DeAngelo (72 ans), a mis en évidence l’évolution de cette méthode de recherche, notamment grâce à l’augmentation des banques de données génétiques.

En effet, dans cet enquête Californienne, ce n’est pas l’ADN du tueur qui correspondait à celui retrouvé sur une très ancienne scène de crime… mais celui d’un membre de sa famille. Les banques de données d’ADN sont de plus en plus étoffées, et même si l’ADN d’un criminel n’est pas enregistré dans les fichiers de la police (ou les fichiers auxquelles elle a accès), il y a de plus en plus de chances pour que les forces de l’ordre aient en revanche accès à l’ADN d’un membre de la famille du criminel. Dans le cas du tueur de Californie, après que les policiers eurent trouvé un membre de la famille du tueur, il leur aura alors suffi de regarder qui parmi les parents de cette personne était suffisamment âgé pour avoir commis des meurtres dans les années 1970.

Un nombre de plus en plus important de « cold cases » (affaires non-résolues) devraient donc être solutionné à l’avenir : le futur s’invite chaque jour un peu plus à notre table !

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